Aller au contenu

La schizophrénie et le paranormal.

  • par

La schizophrénie et le paranormal.

Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est à dire les facultés propres à son âme.

Avant de lire cet article je vous propose ce merveilleux film sur le sujet …. Attention c’ est un film assez dur.

Le film

La schizophrénie.

Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est à dire les facultés propres à son âme. Être schizophrène, c’est être prisonnier d’un réseau de communications avec le monde invisible, qui n’est pas structuré ni organisé de façon cohérente. En conséquence, celui qui est pourvu de ce type de réseau s’en trouve très malheureux parce qu’il ne sait pas comment agir pour faire taire certains correspondants, ou pour en appeler d’autres. Rester dans cet état peut, en effet, conduire la personne atteinte de ce dérèglement médiumnique à vivre des situations très désagréables. Les esprits de toutes catégories se manifestent à elle parce qu’ils cherchent toujours un canal pour s’exprimer. Cela est surtout vrai pour les esprits des fréquences inférieures.

Le schizophrène a donc de fortes chances d’entendre plutôt ces esprits, parce qu’ils sont très proches de la terre et s’amusent comme ils le peuvent. Cependant, ils ne sont pas conscients, pour certains, du mal qu’ils font en agissant ainsi. Ils échappent tous à la hiérarchie spirituelle, et se livrent aux pires excès qui vont parfois jusqu’à manipuler un être faible en le conduisant jusqu’au suicide.

Les possibilités de guérison du schizophrène ne passent pas par l’absorption massive de ces médicaments chimiques, écrasant l’esprit et transformant le soi-disant malade en une véritable légume, afin d’anéantir ses perceptions. Il faut, au contraire, lui expliquer ce qui se passe réellement, et l’aider à gérer tout le désordre auquel il est confronté. Il faut que la personne soit sensibilisée à ses réelles possibilités de guérison si elle arrive à contrôler ces voix qui l’obsèdent, et qui pour la plupart lui font peur. Il faut que toute personne atteinte par ce problème ne soit plus en situation de faiblesse. Bien au contraire, le schizophrène est un être spirituellement très évolué, qui peut et qui doit s’opposer avec une grande autorité à ces esprits invisibles qui le perturbent, en leur imposant le silence et le respect.

Pourquoi certains esprits évolués sont-ils désignés comme étant schizophrènes, et d’autres ne le sont pas ? C’est une grande interrogation, mais nous allons y répondre.

Les êtres qui sont sensibles aux voix et aux manifestations du bas astral ( lesquelles sont très souvent éprouvantes et traumatisantes pour la personne qui les reçoit ) sont des esprits prisonniers d’un douloureux passé spirituel, qui les a mis dans une situation de vulnérabilité excessive. Ils ont vécu la peur dans une vie antérieure. Ils ont été placés dans les pires situations qu’un être normalement constitué ne pouvait supporter. Presque toujours, ils ont subi des sévices physiques et moraux et sont devenus des esclaves de l’esprit humain. C’est à dire qu’ils ont subi la domination outrageante d’êtres ignobles et sans scrupule. Ces esprits ont été affaiblis par ces expériences de vie, mais ils ont également développé de grandes facultés de résistance et de communication avec le seul être susceptible de les comprendre et de les aider : Je parle de leur guide spirituel ou de leur ange gardien.

Ces expériences douloureuses les ont suivis, et les suivront jusqu’au terme de leurs multiples vies. Cependant, il faut comprendre qu’un schizophrène est souvent à la fin de sa vie spirituelle, c’est à dire de ses multiples vies, lorsque de telles souffrances se manifestent. Il est toujours fragile et se met sans en être conscient, sous la tutelle de l’autorité la plus négative du monde invisible. Je parle de Satan : cette force noire qui ne souhaite que le mal, et qui s’empresse de se manifester auprès de tous ceux qui sont en situation d’extrême fragilité psychique.

Il est plus facile d’en sortir lorsque la personne atteinte n’est pas schizophrène. Et pour cause, elle n’en perçoit que la pensée et reste donc moins facile à atteindre. Celui qui perçoit la voix de façon très claire est beaucoup plus vulnérable, parce qu’il croit se retrouver dans la situation de soumission précédemment décrite, dont le souvenir est inscrit dans la mémoire de son âme.

Le processus de guérison est donc simple et complexe à la fois. Il passera toujours par l’écoute et par la compréhension du possédé, parce qu’il s’agit en l’occurrence d’une véritable possession. Elle n’est surtout pas à prendre à la légère. Bien sûr, les cas sont divers et ne présentent pas tous les mêmes symptômes, mais le fond du problème ou la cause est identique. C’est la raison pour laquelle le traitement passe obligatoirement par une compréhension objective, traduite dans les moindres détails à la personne qui souffre. C’est la seule possibilité qui s’offre à elle de se sentir soutenue et renforcée dans son propre combat intérieur qui consiste à éliminer les voix perturbatrices, et à se débarrasser définitivement des intrus qui s’emparent de façon intempestive, de son esprit. L’être soumis à de telles agressions ne peut résister très longtemps, surtout si le traitement qui lui est proposé est exclusivement chimique. Le traitement psychiatrique doit passer par la compréhension spirituelle des manifestations. Elles ne proviennent pas du cerveau comme le pensent les médecins, mais se produisent au contraire par le processus d’écoute télépathique ou clairaudient du corps éthérique. Il faut donc que le traitement soit approprié à celui qui est la cause du désordre, et non à celui qui ne l’est pas.

Sachez, savants psychiatres, que si la folie se manifeste chez une personne schizophrène, la cause est essentiellement liée à l’absorption de vos médicaments chimiques qui ne font que détruire. Rien de ce malaise observé ne peut être guéri de la sorte. En agissant ainsi, vous réduisez l’être à l’état d’esclave. C’est à dire que vous relayez avec une méthode de soins uniquement chimique, les méfaits de l’action occulte et invisible précédemment décrite. Le cercle est très vicieux. Oh ! Bien sûr, vous n’êtes pas responsables puisque vous ignorez pour la plupart l’existence de cette influence, malgré tout ce que vous entendez de la bouche même de vos patients. Mais il faut que vous sachiez à partir de maintenant inverser la tendance : alterner soins physiologiques et spirituels, et progresser lentement mais sûrement vers une nouvelle thérapie.
Notre souhait le plus cher est celui-là, et ainsi, l’évolution que vous observerez ou plutôt que vous reconnaîtrez chez vos « malades » ne pourra qu’être bénéfique à la vôtre. Je parle non seulement de l’action thérapeutique, mais également et surtout de votre progression spirituelle commune. Prenez le risque, à partir d’aujourd’hui, de vous lancer dans cette merveilleuse aventure qui vous est proposée, et ne soyez pas inquiets si vous en prenez le chemin parce que votre réussite en sera le couronnement. Soyez certains que votre nouvel engagement sera honoré par tous vos patients. Ne restez pas plus longtemps les bras croisés ou dans l’expectative : ils vous attendent !

Pour terminer, je dirai ceci : les schizophrènes sont des êtres merveilleux d’amour et lumineux dans toute leur splendeur. Ils doivent lutter eux-mêmes contre les esprits sombres qui les réduisent à l’état d’esclaves, et savoir qu’en agissant avec la foi d’être vainqueurs, ils s’en débarrasseront définitivement sans aucun secours thérapeutique médicamenteux. »